TROIS ENFANTS, UNE PETITE BARQUE SEULE SUR L’OCEAN EN FURIE !
La tempête ! Un volcan s’effondre dans l’océan, soulevant une vague titanesque qui engloutit toute une vallée.
Des villages sont submergés, une vallée entière disparaît, inondée par ce tsunami.
Une famille survit à ce désastre grâce à leur maison construite au sommet d’une colline. Un couple et leurs neuf enfants. Ils espèrent des secours. Ils attendent la décrue. Leurs provisions diminuent. Les tempêtes se succèdent et l’eau continue à monter.
Il faut partir.
La barque qui peut les sauver est trop petite pour emmener toute la famille.
Qui va pouvoir partir avec les parents ?
Qui va rester et tenter de survivre ?
Le choix est impossible !
Alors les parents décident de s’enfuir pendant la nuit, laissant derrière eux trois de leurs enfants seuls sur cette île cernée par les eaux menaçantes.
Commencent alors deux périples.
Celui des parents sur la barque avec les 6 enfants qu’ils ont choisis. Ils font face aux tempêtes, ils rament désespérément jusqu’à trouver refuge sur une autre île ou sur les côtes lointaines.
De l’autre côté, restés seuls, les trois enfants pas très vaillants apprennent à survivre. Quelques provisions, quelques poules et l’eau autour d’eux continue à monter.
Terrifiant et tragique, ce suspens insoutenable est rendu vivant par la voix des enfants. Ils se débrouillent plutôt bien pour manger, récolter les œufs et, comme ce sont des enfants, ils jouent et on respire avec eux.
Pourtant l’eau monte.
Eux aussi devront partir
Habituellement, je ne suis pas très fan des « Polars féminins » souvent trop larmoyants et empreints de culpabilité insupportable. Mais là, j’ai adhéré !
Totalement captivée par ces luttes pour la survie, j’ai aimé cette écriture sobre, sans faux « Pathos ».
Un très bon polar !
Broché 31,80CHF
Crédit photo Babelio
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